Livraison OFFERTE à partir de 99€ | Paiement 3x ou 4x
Chers lecteurs,
Je vous prie de m’excuser pour le temps qui s’est écoulé depuis mon dernier article. Janvier a été chargé, mais je vous promets de retrouver un rythme de publication plus régulier.
Pour mettre en œuvre ces bonnes résolutions, quoi de mieux qu’une nouvelle rubrique ? Je débute donc aujourd’hui le premier opus d’une nouvelle série appelée « marques que j’aime » et qui sera consacré à Howard’s PARIS, marque de chemises et d’accessoires pour homme qui est devenue, en quelques années seulement, une référence du vestiaire masculin.
Howard’s PARIS a été fondée en 1997 par Frédéric Costa, 20 ans tout juste à l’époque qui ouvre son magasin au 45 rue d’Amsterdam, où la boutique se situe encore aujourd’hui.
Pendant des années, Howard’s est principalement connue de certains initiés et de clients habitant ou travaillant dans le quartier, avant d’être mise sous le feu des projecteurs il y a quelques années de cela par certains blogueurs ayant pignon sur rue comme Hugo Jacomet avec Parisian Gentleman ou encore BonneGueule.
Depuis, force est de constater qu’il est difficile de s’intéresser à l’élégance masculine sans entendre du bien de la marque.
Dès lors, ma curiosité piquée par ces nombreux avis lus sur la toile, je décidais de vérifier par moi-même ce qu’il en était.
Je partis donc à l’aventure dans ce quartier situé derrière la gare Saint Lazare. Première surprise, la boutique est la seule enseigne de vêtements dans son périmètre, et n’est pas, comme cela est de plus en plus le cas, située dans une rue où sont agglomérées les échoppes dévolues au textile.
Deuxième surprise, la boutique est toute petite. Néanmoins, ces surprises passées, vous comprenez, dès l’entrée, que vous ne vous êtes pas trompés d’endroit.
Les cravates soigneusement alignées attirent mon œil et excitent ma rétine. Car chez Howard's PARIS, la cravate est très belle, elle est travaillée avec des modèles que vous ne trouverez nulle part ailleurs.
Je repère immédiatement de magnifiques modèles en laine imprimée, qui tranchent par rapport à la classique cravate en soie (qu’elle soit imprimée ou tissée). Pas le temps de reprendre mes esprits que déjà s’offrent à moi d’autres très beaux modèles en flanelle.
Au global Howard’s propose une collection de cravates au tissus variés tels la soie, la grenadine de soie, la laine, la flanelle, faisant la part belle au montage traditionnel 7 plis.
Les finitions sont extrêmement soignées avec sur certaines cravates un détail apprécié des amateurs, la mouche de fermeture brodée à la main en point marguerite.
Pour finir, précisons qu’un certain nombre de modèles proposés sont montées à la main dans un atelier Parisien.
Après les cravates, mon regard est irrémédiablement attiré par les chemises et par un modèle en particulier, le pin collar (avec épingle de col), que l’on trouve assez peu dans le commerce et qui est véritablement mis à l’honneur chez Howard’s.
Plus globalement, les chemises sont, à l’instar des cravates, de grande qualité avec des tissus provenant de chez Thomas Mason, une référence, des coutures allant jusqu’à 8 à 9 points par cm, des boutons en nacre d’Australie « mother of pearl » et bien évidemment la fameuse hirondelle de renfort.
Enfin, avant de partir (pas les mains vides rassurez-vous), je m’attarde sur la très belle collection de pochettes proposées par Howard’s.
Il y en a pour tous les goûts : unies, à (très beaux) motifs, en soie, en lin, en laine, en coton, c’est un vrai plaisir que de parcourir tous ces carrés de tissus qui viendront se loger dans la poche de ma veste et réhausser ma tenue (voir mon article sur la pochette).
Avant de conclure, je ne peux pas passer sous silence l’accueil du maître des lieux, très bon au demeurant.
Il se fera un plaisir de vous renseigner et guider pour que vous ressortiez de chez Howard’s comblé.
Alors, si vous cherchez une cravate, une pochette ou une chemise d’un certain standing, croyez-moi, foncez chez Howard’s, que ce soit en boutique ou bien en ligne.
SOURCE : https://soignetonpadding.com/2018/02/17/marque-que-jaime-howards/